Par la rédaction
En 2000, Bernard Lavilliers avait joué un soir au Théâtre des Champs-Élysées avec l’Orchestre Lamoureux. Près d’un quart de siècle plus tard, l’idée de faire reprendre ses musiques par des instrumentistes classiques a ressurgi. Le Stéphanois a puisé parmi ses chansons les plus lyriques, les plus amples, celles qui se prêtent le mieux à l’exercice délicat de la transcription pour orchestre. Aidé dans cette tâche par l’arrangeur Cyril Aufort, il a sélectionné une petite vingtaine de titres parmi lesquels O Gringo, Betty, On the Road Again (of course), La Grande marée, ainsi que ses très attendues interprétations de Léo Ferré La Mémoire et la Mer et Est-ce ainsi que les hommes vivent, ou bien encore Noir tango et Beautiful Days extraites de Sous un soleil énorme son dernier album, publié en 2021. Pour deux soirs à Anthea, le chanteur voyageur sera accompagné de ses musiciens habituels et de l’Orchestre philharmonique de Nice
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