Kate

Kate

Par Ph.D

Le pitch

Minutieuse et prodigieusement douée, Kate (Mary Elisabeth Winstead) est l’exemple même de la machine à tuer parfaitement rodée et au sommet de son art. Mais voilà qu’un jour elle échoue à éliminer sa cible, un yakuza à Tokyo. Elle découvre alors qu’elle a été empoisonnée et va subir une exécution par mort lente qui lui laisse moins de 24 heures pour se venger de ses assassins avec l’aide inattendue d’Ani (Miku Patricia Martineau), la fille de l’une de ses anciennes victimes.

Ce qu’on en pense

Une série B franco -americano-japonaise dans laquelle Mary Elisabeth Winstead (Die Hard, Birds of Prey) joue une Nikita américaine, formée dès son plus jeune âge par un ponte  des services secrets (Woody Harrelson) pour devenir une machine à tuer.  La réalisation élégante et fluide du Français Cedric Nicolas-Troyan offre de belles séquences de baston et quelques gunfights danthologie. Mary Elisabeth Winstead s’en donne à coeur joie, avec un look à la Sigourney Weaver qui pourrait lui valoir une place dans la franchise Alien (ou tout autre film où on dégomme des monstres). Sa camarade de jeu, la franco-japonaise Miku Patricia Martineau,  joue les ados toxiques avec beaucoup de naturel également. Comme d’habitude, c’est trop long d’une demi-heure, mais on passe un bon moment.  

By |septembre 29th, 2021|Categories: Cinéma|0 Comments

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