Cannes : Bollywood Masala
Par la rédaction
Nice: Marc Rougé
Par la rédaction
Vous avez déjà eu envie de tout quitter pour recommencer ? Que se passe-t-il quand on quitte tout ? Marc Rougé revient sur site pour parler de sa reconversion avec autodérision et humour. Marc a beaucoup travaillé dans le monde du travail avant de… tout quitter (vraiment tout). Il part de l’absurdité du monde de l’entreprise pour aborder d’autres thèmes : l’amour et la famille. Marc Rougé réhabilite la tradition du sketch avec un stand up moderne d’observation et révèle la poésie du quotidien et des relations.
Nice : La guerre…
Par la rédaction
En 2015, Svetlana Alexievitch obtient le Prix Nobel de littérature pour son œuvre La guerre n’a pas un visage de femme. Sous forme d’enquête, ce précieux récit apporte un éclairage nouveau sur la Seconde Guerre mondiale. Une plongée intime et sensible au cœur de la parole des femmes, les grandes oubliées de l’Histoire, qui questionne notre devoir de mémoire. Venues des quatre coins du pays, d’anciennes camarades du front se rassemblent dans l’intimité d’un appartement communautaire, au milieu des nombreux éviers, ballons d’eau chaude, gazinières et linge qui sèche. En ce printemps 1975, une jeune journaliste est venue recueillir leurs témoignages. Avec une immense émotion, ces combattantes nous prouvent que nous ne connaissons qu’une infime partie de l’Histoire : la guerre n’est pas constituée que de grands événements, elle l’est aussi de petits détails. Dire la réalité de la guerre : la faim, l’épuisement, la peur, les cheveux coupés, les bottes et uniformes trop grands, les paysages dévastés, les abus, l’entêtement irrationnel qui cherche à redonner sens à ce qui n’en a pas, les douleurs profondes et les joies inattendues. En se racontant, ces femmes renaissent, les récits les plus cocasses jaillissent et elles brûlent soudain d’envie de rire, de chanter, de vivre… Mise en scène de Julie Deliquet avec Julie André, Astrid Bayiha, Évelyne Didi, Marina Keltchewsky, Odja Llorca, Marie Payen, Amandine Pudlo, Agnès Ramy, Blanche Ripoche et Hélène Viviès.
Nice : Joris Delacroix
Par la rédaction
La discrétion médiatique dont fait preuve Joris Delacroix est sacrément trompeuse. Cela fait en effet près de 20 ans que le DJ et producteur français, accumule les hauts faits d’armes : deux albums salués par la presse – Room With a View (2011) et Night Visions (2018) -, des collaborations couronnées de succès (« Air France », avec Synapson, « Aiguilhe »), des titres qui affolent les compteurs sur les plateformes (« Start The Engine », + de 25 millions de streams) et de multiples tournées à l’international, systématiquement ponctuées par des performances au sein des lieux les plus prestigieux de France (Cercle, REX Club, T7, Garrorock, Ritter Butzke, E1). Pour le premier set electro de l’année au Stockfish.
Monaco : Cats
Par la rédaction
La comédie musicale CATS d’Andrew Lloyd Webber, s’installe à l’Opéra de Monte-Carlo pour deux semaines , du 14 au 31 décembre 2025. Inspiré du recueil poétique « Old Possum’s Book of Practical Cats » de T. S. Eliot, cette « comédie musicale révolutionnaire » (Daily Express), tisse une œuvre envoûtante mêlant musique, danse et poésie. Une fois par an, à l’occasion d’une nuit très spéciale, les chats se réunissent pour leur grand « Jellicle Ball ». Sous le regard bienveillant d’Old Deuteronomy, leur sage et bienveillant chef, l’un d’eux est choisi pour s’élever vers la mystérieuse « Heaviside Layer », afin de renaître dans une nouvelle vie pleine de promesses. Avec sa musique intemporelle, ses décors époustouflants et une distribution remarquable, des chorégraphies à couper le souffle et des airs inoubliables — dont le célèbre « Memory » —, CATS est un spectacle hors du commun, une expérience théâtrale magique.
Toulon : Abysses
Par la rédaction
Originaire de Sicile, Davide Enia s’est rendu à plusieurs reprises sur Lampedusa. Ému par les réfugiés qu’il y croise, l’auteur s’est intéressé à la manière dont la crise migratoire transforme le quotidien des habitants de l’île. Sauveteurs, pêcheurs, médecins : toutes et tous ont été confrontés à cette actualité, et ont vu leur vie bouleversée. Il en a tiré ce texte lucide et poignant interprété par Jacques et Léon Bonnaffé. Les deux acteurs tirent le fil d’une relation père-fils marquée par les non-dits, les contradictions et les fragilités. Ici, pas de grands discours, mais des confessions et des silences. Serions-nous, nous aussi, prêts à sauver des vies ? Entre récit intime et matière documentaire, Abysses interroge notre capacité d’accueil et d’humanité.
Cannes : Magie
Par la rédaction
Le Festival Mondial de la Magie présente une nouvelle édition au Palais des festivals de Cannes, avec des illusions et numéros inédits jamais produits en Europe et toujours avec des artistes exceptionnels considérés comme « les plus grands magiciens actuels» : Alberto Giorgi et Laura (nouveau spectacle) Arno, Doble Mandoble, Nestor Hato , Les Chapeaux Blancs, Mag Marin (nouveau show grandes illusions) et Tom Wouda… Transformer votre journée ou soirée ordinaire en un évènement extraordinaire est le seul but de tous les artistes réunis ensemble sur une même scène pendant près de deux heures. Grandes illusions, magie comique, mentalisme, prestidigitateur, magie digitale, manipulateur de cartes, magie des lumières… tous les courants de l’illusionnisme seront représentés.
Nice : Casse-Noisette
Par la rédaction
Casse-Noisette revient à l’Opéra de Nice pour la première fois depuis de nombreuses années. Pour cette nouvelle création, l’immense Benjamin Millepied propose sa propre vision de ce ballet, audacieuse et personnelle. Il y a vingt ans, Benjamin Millepied créait son premier grand ballet, Casse-Noisette, pour le Ballet du Grand Théâtre de Genève. Cette version mêlait le vocabulaire académique à une liberté imaginative, nourrie par ses années en tant que danseur au New York City Ballet. Il retrouve cette histoire avec un langage chorégraphique distinct et un nouveau sens de l’invention. Pour cette production, il s’entoure du célèbre peintre Paul Cox, dont les décors et costumes apportent une fantaisie féerique, empreinte d’enfance. L’histoire demeure : le soir de Noël, Clara s’endort au milieu de ses jouets et rêve d’un casse-noisette qui se transforme en prince. Millepied met l’accent sur la musicalité et le rythme, laissant la chorégraphie dépasser le courant de la partition. La musique de Tchaïkovski, interprétée par l’Orchestre Philharmonique de Nice, ancre cette relecture vivante d’un ballet intemporel, imaginée pour une nouvelle génération.
Monaco : Je suis trop vert
Par la rédaction
Je suis trop vert est la suite de J’ai trop d’amis, qui faisait suite à J’ai trop peur. Après l’été passé à appréhender dans l’angoisse son entrée en sixième (J’ai trop peur), après les premiers jours de cette nouvelle vie scolaire et sociale (J’ai trop d’amis), Moi poursuit son apprentissage de la 6e, cette époque charnière de la vie : cette fois on l’envoie en classe verte. D’abord très déçu d’être séparé de ses camarades préférés, à Mareletle- Puiseux, une petite bourgade très rurale, Moi est hébergé dans une famille de paysans à la tête d’une petite exploitation agricole. Il découvre la vie rurale, beaucoup moins calme qu’il le pensait : lui qui s’apprêtait à s’ennuyer, va surtout devoir survivre dans un milieu âpre, rude, beaucoup plus bruyant que prévu, fait de levers aux aurores, du rapport direct et brutal avec la terre et les éléments, et même (car il n’est pas question de ne pas participer au travail à la ferme) de tâches harassantes et dangereuses au contact des bêtes ou des machines agricoles… Mise en scène David Lescot avec (en alternance) : Lyn Thibault, Elise Marie, Sarah Brannens, Lia Khizioua-Ibanez, Camille Bernon et Marion Verstraeten.










