Nice : Dire Straits Experience
Par la rédaction
The Dire Straits Experience, c’est les reprises des plus grands hits de Dire Straits avec Chris White sur scène, ancien membre du groupe, accompagné de six musiciens de renommée internationale. Plus de vingt ans après la dissolution du groupe, The Dire Straits Experience refait vivre l’âme du groupe. Il ne s’agit en effet pas d’un simple hommage, Chris White fait partie des musiciens présents sur scène. Avec des tubes tels que “Sultans of Swing”, “Money for Nothing” et “Private Investigations”, The Dire Straits Experience relève le défi de transmettre le virus Dire Straits aux générations futures. Après l’incroyable succès de leurs précédentes venues, le groupe est heureux d’annoncer une nouvelle tournée qui passera par Nice le 16 octobre .
Pour ce concert, Inout et le Palais Nikaia vous font gagner des places. Envoyez votre participation à inoutcotedazur@gmail.com (2 invitations par personne après tirage au sort).
Nice: Covertramp
Par la rédaction
Adoubé par Roger Hodgson (Ex-Supertramp), Covertramp est réputé être le meilleur tribute de SUPERTRAMP. Se produisant dans toute la France et en Belgique, le groupe se compose de 6 musiciens multi-instrumentistes qui reproduisent à la note près – 100% live – dans les mêmes tonalités et harmonies vocales. Deux heures de concert retraçant les 5 albums emblématiques du groupe. Tous les tubes qui ont fait la légende de SUPERTRAMP, la mythique formation anglaise des années 1970/80, sont joués lors de ce show à remonter le temps : School, Dreamer, Breakfast In America, Goodbye Stranger, Take The Long Way Home, ou encore Fool’s Overture, Give a Little Bit… Deux heures de magie et d’émotion en perspective le 17 octobre à Nikaia.
Pour ce spectacle, Inout et le Palais Nikaia vous font gagner des places. Envoyez votre participation à inoutcotedazur@gmail.com (2 invitations par personne après tirage au sort).
Monaco : Maxim Vengerov
Par la rédaction
Pour leur 25ème Anniversaire, les Amis de l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo vous convient à un concert exceptionnel du violoniste Maxim Vengerov. Il interprétera un programme consacré à Piotr Ilitch TCHAÏKOVSKY (Capriccio italien, op. 45, Concert pour violon, op.35, Symphonie n°1, Rêves d’hiver) avec l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo sous la direction de Lawrence FOSTER. Attention, concert à 18h00.
Nice : Figaro
Par la rédaction
Par son humour mordant, la puissance de son esprit et la finesse de sa langue, Beaumarchais dépeint avec une étonnante justesse notre époque, bien que La Folle Journée ou Le Mariage de Figaro ait été écrit il y a 247 ans. Pour ne pas en pleurer, Léna Bréban nous propose d’en rire en réunissant une troupe talentueuse, avec Philippe Torreton dans le rôle-titre. Figaro, valet du comte Almaviva, s’apprête à épouser Suzanne, première camériste de la comtesse. Le comte, dans sa prétention et son désir insatiable, menace de s’y opposer si la soubrette ne cède pas à ses avances. De son côté, la comtesse est bien décidée à faire justice à l’infidélité de son époux. Ce n’est que le début de cette folle journée qui s’annonce pleine d’intrigues et de rebondissements… Comédie satirique, La Folle Journée ou Le Mariage de Figaro explore les intrigues amoureuses et sociales à la cour du roi Louis XVI. Dans une France où le droit de cuissage est toujours de mise, Beaumarchais se fait le porte-parole de la cause féminine et malmène l’autorité. Sous des aspects faussement légers et badins, il dénonce l’injustice sociale et le pouvoir abusif de l’aristocratie, préfigurant la Révolution française. Son audace lui aura valu des années de censure.
Sanary : Calogero
Par la rédaction
Quinze ans après, Calogero retrouve les théâtres pour une tournée évènement de plus de 150 dates. Après avoir sillonné les Zénith et Arena, il revient sur scène dans des lieux plus intimistes pour offrir un résumé de son parcours en concert, avec une sélection de « morceaux choisis » issus de son répertoire et présentés dans des versions inédites. Pour deux soirées au théâtre Galli.
Cannes : Mariza
Par la rédaction
Fréjus : Marine Leonardi
Par la rédaction
Marine Leonardi décortique avec cynisme et humour noir les contrariétés du quotidien, du couple en passant par la maternité. Elle ose tout dire sur ses grossesses, son couple, sa mère et sa belle-mère, créant un joyeux décalage avec son look de Parisienne élégante et bien élevée, tout droit sortie d’école de commerce. Elle campe une femme qui ne se prend pas au sérieux… On entend un cri de colère savoureux sur toutes les petites injustices du quotidien de mère, et un cri de puissance de pouvoir enfin parler de tout ça et d’en rire…Son humour est teinté d’une bonne dose de cynisme et d’une énergie très positive qui témoignent en réalité d’une grande foi en l’humanité. C’est cru, drôle et authentique. Un spectacle libérateur.
Puget : Solann & Co
Par la rédaction
Le Mas d’hiver réouvre ses portes à Puget sur Argens pour une nouvelle saison avec un programme une fois de plus alléchant. Voici les premières dates :
Vendredi 17 octobre : Solann
Samedi 8 novembre : Sinclair
Samedi 22 novembre : Brockenback
Vendredi 12 décembre : Culture 80
Vendredi 19 décembre: Lorie
Toulon : Julien Bing
Par la rédaction
Avec un humour intelligemment maladroit, Julien Bing a un objectif : rire avec tout le monde ! Dans un monde où la nuance n’existe plus et où tout porte à polémique, conscient du danger, il s’amuse de l’image « instagrammable » dans laquelle nous sommes tous piégés ou presque. Attention, il prévient son public : s’il va trop loin avec lui-même, il s’insultera sur les réseaux sociaux, mettra fin à sa carrière, et s’il va vraiment trop trop loin, il s’attaquera en justice. Et Bing !
Nice : Mamacita
Par la rédaction
Panda-Events, Twelty en collaboration avec le 109 et la ville de Nice présentent Mamacita qui, en trois ans, a secoué la scène parisienne avec des soirées reggaeton dans des spots de folie. Et maintenant… cap sur Nice. Leur mission ? Propager la vibe latine ! Ils sélectionnent les meilleurs sons latinos et proposent des sets inédits, mixés par leurs DJs qui n’hésitent pas à explorer d’autres styles : baile funk, shatta et bien plus encore… Des DJs survoltés, une ambiance de folie, et une seule promesse : te faire voyager sans quitter la piste.
Toulon : A l’ombre
Par la rédaction
Dans un espace restreint tour à tour lit, scène de théâtre ou cellule, Redwane Rajel joue son propre rôle. Il retrace son parcours atypique qui l’a mené de la prison aux planches. Seul devant le public, il remonte le fil de ses souvenirs : la banlieue, la violence, mais aussi les rencontres décisives et la puissance transformatrice des mots. C’est l’histoire d’une réinsertion et d’une dignité retrouvée. De son jugement à sa première représentation au Théâtre de la Villette, le témoignage qu’il livre est une précieuse matière à réflexion sur l’univers carcéral. L’histoire de Redwane Rajel, un adolescent bagarreur devenu boxeur professionnel, qui, un jour, a trop cogné. L’histoire d’un homme incarcéré pour qui le théâtre a tout changé. Un récit intime.
Antibes : Marine Leonardi
Par la rédaction
Marine Leonardi doit son ascension fulgurante dans le stand-up au flair qu’elle a eu en janvier 2024, celui de pointer son nez dans la lucarne d’Instagram. Le mantra « Vous n’êtes pas seul.e.s » est devenue sa carte de visite. Des millions de vues plus tard, elle nous présente Mauvaise graine . Conjoint incapable de géolocaliser le panier de linge sale, libido à vau-l’eau, embrouilles aves ses mères et belle-mère aux conseils éducatifs antagonistes, l’ex-cadre puise dans son expérience pour sulfater les arnaques de la parentalité et de l’égalité, et dénoncer le poids insidieux de la perfection. Le tout décortiqué avec cynisme et humour noir. Un spectacle libérateur dont vous sortirez en pensant : « J’osais pas le dire » !
Nice : Tout est calme
Par la rédaction
Pour sa nouvelle création, Jean-François Sivadier s’empare de l’œuvre Maître de l’écrivain autrichien Thomas Bernhard. Au cœur du texte, l’auteur cultive l’humour et l’ironie en dressant un portrait acerbe de certaines grandes personnalités des affaires culturelles et d’une certaine Europe qui ne renonce pas à ses pensées réactionnaires. Moritz Meister, ce célèbre auteur, qu’on appellerait volontiers “Maître”, vient de finir son chef-d’œuvre Tétralogie, un travail de vingt ans. Au sommet de la gloire, il vit retiré dans sa maison idyllique des Préalpes allemandes. Sa femme n’est que son humble serviteur, pourtant virtuose du piano qui aurait pu connaître une carrière prodigieuse, mais qui s’est sacrifiée pour le laisser briller. Tout le monde l’admire, mais surtout, il s’admire lui-même. Auteur comblé, prince des écrivains, il s’y connaît en tout. La littérature, la musique, l’archéologie et même l’apiculture n’ont plus de secrets pour lui. Avec Maître, Bernhard nous invite à une plongée acide dans une supercherie intellectuelle et littéraire d’envergure, dans laquelle l’écrivain-philosophe Moritz Meister tient le premier rôle, ridicule parfois, inquiétant aussi, mais terriblement emblématique d’une élite compromise et mensongère. Avec Nicolas Bouchaud, Norah Krief, Frédéric Noaille, Juliette Bialek et Valérie de Champchesnel.
Antibes : Bérénice
Par la rédaction
Fidèle compagne d’Anthéa, la Comédie-Française revient dans une mise en scène moderne du grand classique de Racine. La pièce – créée à la Comédie-Française en 1680 – est représentée dans une forme des plus novatrices, signant l’alliance d’un grand classicisme dans le texte et d’une remarquable modernité visuelle. Guy Cassiers imagine le lieu de l’intrigue en évolution permanente selon les états psychiques des personnages, grâce à des images projetées en ayant recours au mapping et à l’Intelligence Artificielle. La troupe portera ainsi la langue de l’auteur au sein d’un environnement fluide, au coeur du conflit entre responsabilité politique et intimité…
Toulon : Chute des anges
Par la rédaction
Dans un monde sombre, les machines ont pris le pouvoir. Sous emprise, les Hommes se regardent sans se voir dans un ballet robotique à la fois drôle et inquiétant. Mais l’un d’eux va refuser cet ordre établi, galvanisé par le désir de vivre. Sur scène, des bras mécaniques articulés, des structures métalliques et un mât chinois mobile. Autant d’agrès autour desquels sept acrobates, tous de noir vêtus, se révoltent. Ils dansent et s’élancent dans les airs et incarnent ainsi l’espoir, le lâcher-prise. Cette dystopie nous éblouit par sa très belle composition, alternant jeux d’ombres et de lumières. Un conte en clair-obscur créé par Raphaëlle Boitel, à la croisée du cirque et de la danse.