Ça vient de sortir

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Jean Echenoz : Bristol 

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Par MAB

Détrompez vous. « Bristol » n’a rien à voir avec une ville britannique ou un palace parisien. En fait, Bristol est juste  le nom du personnage principal. Une nouvelle fantaisie du plaisantin Jean Echenoz. Il l’a même prénommé Robert (« mais qui s’appelle Robert aujourd’hui ? » écrit-il ) et par malin plaisir en a fait un obscur réalisateur de série B ayant  bien du mal à financer son prochain long métrage. Quand s’ouvre le  récit, alors même que son voisin du dessus se défenestre sous ses yeux, notre Robert part tranquillement à un rendez-vous avec Marjorie des Marais, l’auteure de « Nos cœurs au purgatoire », un livre à succés dont il prévoit l’adaptation. L’actrice principale est choisie, mais Marjorie  n’en veut pas. Elle peut financer à condition que Robert engage Céleste… « Mais passons« , comme le répète Echenoz qui aime commenter ce qu’il est en train d’écrire,  et retrouvons tout ce petit monde en Afrique centrale (« post coloniale » précise l’auteur ) pour le tournage rocambolesque  d’un (mauvais) film d’amour et d’aventures ou mises en places, prises, scènes, péripéties et catastrophes se succèdent. Un récit plein d’humour entrecoupé de l’enquête policière tout aussi drôle sur l’homme nu qui s’est écrasé sur le trottoir parisien. Bref,  voilà Echenoz qui, comme à son habitude, garde ses distances avec le roman traditionnel. En un cocktail de roman noir et de burlesque, il distille à nouveau son goût pour les bifurcations soudaines, pour des commentaires personnels, pour des personnages passablement inadaptés et qui, parfois, lui échappent. Rien ne semble profond. Tout ressemble à un trait de crayon moqueur de Sempé. En même temps, l’écrivain s’interroge sur son texte,  établit une connivence avec le lecteur, refuse de l’émouvoir mais veut partager avec lui le sentiment que la vie est une comédie et qu’il vaut mieux en rire.   Sincèrement quel plaisir de lecture !

Le Roman de Jim

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Par J.V

Le pitch

Aymeric (Karim Leklou) retrouve Florence (Laetitia Dosch), une ancienne collègue de travail, au hasard d’une soirée à Saint-Claude dans le Haut-Jura. Elle est enceinte de six mois et célibataire. Quand Jim naît, Aymeric est là. Ils passent de belles années ensemble, jusqu’au jour où Christophe (Bertrand Belin), le père naturel de Jim, débarque… Ça pourrait être le début d’un mélo, c’est aussi le début d’une odyssée de la paternité…

Ce qu’on en pense

Cinéastes de la France des régions (ici le Haut-Jura) les frères Larrieu adaptent à leur façon Le Roman de Jim de Pierric Bailly. Un mélodrame poignant qui aborde la paternité sous un angle original : celui d’un homme privé de l’enfant qu’il a élevé sans qu’il soit le sien. Un rôle en or pour Karim Leklou associé à la toujours surprenante Laetitia Dosch,  Bertrand Belin dans le rôle du père biologique et une pétillante Sara Giraudeau. Un film sensible et juste, magnifié par la beauté des montagnes que les Larrieu filment avec autant d’amour que leurs personnages.

Camille Laurens : Ta promesse

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Par MAB

L’emprise, la jalousie et le narcissisme contemporain dans le couple. Celle qui en parle est Camille Laurens . Son roman est bâti comme un thriller  autour de ces quatre verbes : séduire, construire, réduire,  détruire. Celui qui tire les ficelles est un marionnettiste de métier. La victime, une autrice célèbre. Ils se rencontrent à la cinquantaine. Il lui fait promettre de ne jamais écrire sur lui. Or Ta promesse  est tout le contraire ! Car au fil du temps, la narratrice raconte comment elle s’est laissée entraîner dans une histoire fausse, faite de manipulations et de mensonges. Camille Laurens multiplie les voix, les scènes, les lieux. Balade le lecteur dans un jeu de piste bourré de chausse-trappes et au bout du compte compose un roman virtuose sur les mécanismes de l’amour pervers. Le rythme en est haletant.

Les Fantômes

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Par Ph.D

Le Pitch

Hamid (Adam Bessa) est membre d’une organisation secrète qui traque les criminels de guerre syriens cachés en Europe. Sa quête le mène à Strasbourg sur la piste de son ancien bourreau

Ce qu’on en pense 

Découvert à Cannes 2024, en ouverture de la Semaine de la critique, ce premier long métrage de fiction signé Jonathan Millet, a été un de nos rares coups de coeur de l’édition. Un thriller d’espionnage très réaliste sur la traque de bourreaux syriens par leurs victimes à travers l’Europe, avec le Grassois Adam Bessa dans le rôle de l’infitré. Tenu de bout en bout, intelligent, réalisé au cordeau,  le film confirme le talent prometteur de son réalisateur.

Emilia Perez

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Par  Ph.D

Le pitch

Surqualifiée et surexploitée, Rita (Zoe Saldaña) use de ses talents d’avocate au service d’un gros cabinet plus enclin à blanchir des criminels qu’à servir la justice. Mais une porte de sortie inespérée s’ouvre à elle, aider le chef de cartel Manitas (Karla Sofía Gascón) à se retirer des affaires et réaliser le plan qu’il peaufine en secret depuis des années : devenir enfin la femme qu’il a toujours rêvé d’être !

Ce qu’on en pense 

Sujet original (un narcotrafiquant qui veut changer de sexe),  traitement qui ne l’est pas moins (sous forme de comédie musicale avec des passages chantés et chorégraphies), casting sensationnel (Zoe Saldana et la révélation Karla Sofia Gascon en narco transgenre), mise en scène inventive (drame, polar, télénovela, action, comédie musicale, tous les genres sont fusionnés en un mash-up génial ) superbe BO  (Camille reviens, tout est pardonné !)…   Jacques Audiard aurait dû rafler une deuxième Palme d’or en mai dernier à Cannes. Le Jury présidé par Greta Gerwig en a décidé autrement. Emilia Perez est reparti auréolé d’un prix du Jury et d’un autre pour l’ensemble de la distribution féminine. C’était le moins que l’on puisse faire !  Sacré meilleur film étranger (et meilleure comédie) aux Golden Globes Emilia Perez sera l’un des favoris des Oscars. Ceux qui ne l’on pas encore vu auront le temps de le découvrir d’ici là en VOD ou en Dvd.

 

 

 

Alien: Romulus

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Par Ph.D

Le pitch

Alors qu’il entreprend des fouilles dans une station spatiale abandonnée, un groupe de jeunes voyageurs se retrouve confronté à la forme de vie la plus terrifiante de l’univers

Ce qu’on en pense

Au vu de la bande annonce, du casting et du pedigree du réalisateur, l’Urugayen Fede Alvarez (auquel on doit surtout un dispensable remake d’Evil Dead), on pouvait craindre que la franchise Alien ne vire au survival d’horreur pour ados. Même s’il n’y échappe pas tout à fait Alien : Romulus vaut heureusement mieux que ça. L’action se situe après que Ripley ait éjecté le premier alien de sa capsule de survie. La compagnie qui l’employait a lancé une mission pour récupérer ce qui pouvait l’être du Nostromo,  mais l’expédition a tourné au désastre. Sur une planète minière,  un groupe de jeunes rebelles repère l’épave de la station de recherche et, ignorant tout de son tragique destin, projette de l’explorer pour trouver à bord de quoi s’envoler vers des cieux plus cléments. Pour ce faire, ils vont utiliser les services d’ Andy (David Jonsson Frayun vieil androïde recyclé par le père de l’une d’entre eux, la dénommée Rain ( Caylee Spaeny). Evidemment,  ce qu’ils vont trouver à bord va mettre leur plan en grand péril… On le voit, les scénaristes se sont un peu creusé la tête pour trouver une histoire qui s’insère dans la saga et permette de faire référence aux épisodes précédents. Dommage qu’à part les deux personnages précités, ils n’aient pas jugé bon de donner un peu de personnalité aux autres protagonistes. Heureusement, la réalisation compense en action ce qui manque sur le fond, avec quelques scènes d’accouchement d’aliens bien visqueuses. L’identité visuelle de la saga est respectée, ainsi que tous ses codes (on retrouve même une vieille connaissance) et on ne s’ennuie à aucun moment.  De fait, l’épisode se situe au niveau des Alien 2 et 3,  loin des dérives mythologiques boursouflées des deux derniers opus.  Caylee Spaeny fait une excellente simili Ripley (tee-shirt moite compris) et son partenaire David Jonsson Fray hérite du personnage le plus intéressant:  celui du droïde Andy. La fin laisse présager une suite. Pourquoi pas ? On évitera juste, si possible, de l’intituler Alien : Remus. Romulus, c’est déjà assez ridicule.

City of Darkness

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Par Ph.D

Le pitch

Dans les années 80, le seul endroit d’Hong Kong où la loi britannique ne s’appliquait pas était la redoutable citadelle de Kowloon, une enclave livrée aux gangs et aux trafics en tous genres. Fuyant le puissant boss des Triades Mr. Big (Sammo Kam-Bo Hung), le migrant clandestin Chan Lok-kwan (Raymond Lam) se réfugie à Kowloon où il est pris sous la protection de Cyclone (Louis Koo), chef de la Citadelle. Avec les autres proscrits de son clan, ils devront faire face à l’invasion du gang de Mr. Big et protéger le refuge qu’est devenue pour eux la cité fortifiée…

Ce qu’on  en pense

Après  Limbo, plongée viscérale dans les bas-fonds de Hong-Kong, Soi Cheang avait les honneurs du Festival de Cannes au printemps dernier pour son nouveau long métrage, City of Darkness. Présentée en séance de minuit, cette adaptation d’un manga à succès a été le choc visuel du Festival 2024. Deux heures de réalisation virtuose et de combats hallucinants, entrecoupés de considération sociales sur l’origine de la violence et  la dureté du système pour ceux qui en sont exclus. Protagoniste du film à part entière, la citadelle de Kowloon n’a jamais été aussi bien filmée. Les personnages y tracent leur route sanglante à la faucille et au marteau : tout un symbole puisque l’action se passe au moment  de la rétrocession à la Chine communiste !

Les Gens d’à côté

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Par J.V

Le Pitch

Lucie (Isabelle Huppert), une agente de la police scientifique menant une vie solitaire, voit son quotidien bouleversé par l’arrivée d’une jeune famille dans son paisible quartier pavillonnaire. Alors qu’elle développe une affection sincère pour ses nouveaux voisins, elle découvre que Yann (Nahuel Perez Biscayart), le père, est un activiste anti-police au passé judiciaire chargé. Ce conflit moral entre son devoir professionnel et son amitié naissante ébranlera profondément les certitudes de Lucie…

Ce qu’on en pense

Un « petit » (1h25) Téchiné plutôt plan-plan, heureusement  sauvé par son casting : Isabelle Huppert dans un rôle de flic à la Mare of Easttown, Hafsia Herzi toujours attachante et surtout Nahuel Perez Biscayart, découverte de 120 battements par minute, qui parvient à rendre crédible un personnage de blackbloc mal servi par un scénario minimaliste et des dialogues lourdement explicatifs.

 

 

 

Trap

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Par J.V

Le pitch

30 000 spectateurs. 300 policiers. Un tueur.  Cooper (Josh Hartnett), père de famille et tueur en série, se retrouve pris au piège par la police en plein cœur d’un concert.  S’échappera-t-il ?

Ce qu’on en pense

Pas de jalouses ! Après avoir produit Les Guetteurs,  oubliable premier long métrage de sa fille cadette Ishana, sorti en juin dernier, M. Night Shyamalan met en scène son ainée, la chanteuse Saleka, dans un rôle de … chanteuse. Faisant passer le sens de la famille avant le Sixième (sens),  le réalisateur de la trilogie Incassable , Split ,  Glass oublie quelque peu son sens du suspens original pour se couler dans un thriller ultra classique  au scénario truffé d’invraissemblances. Josh Hartnett y campe un tueur à la double personnalité traqué par la police pendant que Saleka déroule ses compositions sur scène.  D’où l’impression d’assister à un long clip musical mis en scène par papa.

Largo Winch 3

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Par J.V

Le pitch

Depuis l’enlèvement brutal de son fils Noom (Narayan David Hecter), Largo Winch (Tomer Sisley) fait l’objet d’une impitoyable machination cherchant à l’anéantir et à détruire le groupe W. Pour faire éclater la vérité et retrouver son fils, Largo se lance dans une traque sans relâche. Des forêts canadiennes, en passant par Bangkok, jusque dans les profondeurs des mines birmanes, il ne sait pas encore qu’il devra faire face aux démons du passé…

Ce qu’on en pense

Troisième aventure filmée pour le héros de BD incarné par Tomer Sisley. Jérome Salle cède la place au Belge Olivier Masset-Depasse (Duelles) pour la réalisation et  James Franco joue les méchants de service. Le  mano à mano entre les deux hommes tient ses promesses tandis que  Clotilde Hesme et Elise Tilloloy jouent avec talent les atouts de charme de l’épisode. Dommage que le scénario, inspiré de la série BD, reste du niveau d’un film pour ados. Malgré les facilités et les invraissemblances, on passe quand même un bon moment. 

Comme le feu

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Par J.V

Le pitch

Jeff (Noah Parker), 17 ans, est secrètement amoureux d’Aliocha (Aurélie Arandi-Longpré). Tous deux admirent le mystérieux Blake (Arieh Worthalter), un vieil ami du père de la jeune fille, qui les invite à passer quelques jours dans son chalet de chasse au cœur du grand nord canadien. Là, en pleine nature, les deux adolescents se confrontent à un monde d’adultes puérils, prêt à s’embraser…

Ce qu’on en pense

Récompensé par le Grand Prix du Jury international à  Berlin, le nouveau film de Philippe Lesage impose le cinéaste quebecquois parmi les auteurs à suivre de la nouvelle génération . Entièrement tourné en plans séquences, Comme le feu porte bien son nom : brulant, intense  il confronte les générations en interrogeant sur le rapport au mentor, avec, dans le rôle de cinéaste adulé mais peu sympathique,  Arieh Worthalter, césarisé en début d’année pour sa prestation dans Le Procès Goldman.

Deadpool & Wolverine

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Par J.V

Le pitch

Après avoir échoué à rejoindre l’équipe des Avengers, Wade Wilson (Ryan Reynolds) passe d’un petit boulot à un autre sans vraiment trouver sa voie. Jusqu’au jour où un haut gradé du Tribunal des Variations Anachroniques lui propose une mission digne de lui… A condition de voir son monde et tous ceux qu’il aime être anéantis.  Refusant catégoriquement, Wade endosse de nouveau le costume de Deadpool et tente de convaincre Wolverine (Hugh Jackman) de l’aider à sauver son univers…

Ce qu’on en pense

Le rachat par Disney des licences de super-héros détenues par la 20th Century Fox ( X-Men, Deadpool, Wolverine) pouvait laisser craindre une certaine aseptisation des scénarios, notamment dans le cas de Deadpool. Il n’en est rien, heureusement,  avec ce nouveau volet des aventures du plus irréverencieux des super-héros, associé pour l’occasion au plus féroce, le redoutable Wolverine.  Réalisé par Shawn Levy, « Deadpool et Wolverine » manie toujours habilement l’humour potache. Pas de  censure, non plus,  dans les scènes d’actions, carrément gores. Le film s’amuse même à parodier l’univers Marvel, tournant allègrement en dérision son fameux  « multivers ». Aux côtés de Ryan Reynolds et Hugh Jackman, la première Lady Di de la série The Crown, Emma Corrin,  incarne idéalement la redoutable Cassandra Nova et donne une touche féminine bienvenue à cet épisode très réussi.

Une Affaire de principe

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Par J.V

Le Pitch

Bruxelles, 2012. Quand le commissaire à la santé est limogé du jour au lendemain, dans la plus grande opacité, le député européen José Bové (Bouli Lanners) et ses assistants parlementaires décident de mener l’enquête. Ils vont alors découvrir un véritable complot menaçant de déstabiliser les instances européennes, jusqu’à leur sommet…

Ce qu’on en pense

Après Une intime conviction (2019) Antoine Raimbault creuse la veine judiciaire et politique avec ce film-dossier sur une affaire qui n’a pas fait grand bruit en dehors du landernau bruxellois, mais qui méritait pourtant plus de publicité. D’autant qu’elle impliquait le médiatique José Bové et le lobby du tabac. Du coup, le film s’attache à faire comprendre les tenants et les aboutissants du dossier,  avec un luxe de précision qui nuit un peu à la dramaturgie. Heureusement, le réalisateur a eu la bonne idée d’adjoindre au député  moustachu, incarné avec conviction par Bouli Lanners, un assistant et une jeune stagiaire  (Thomas VDB et Céleste Brunnquell) qui, en plus d’être attachants, permettent de varier les points de vue.

Horizon 1

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Par J.V

Le pitch

A l’époque de la Guerre de Sécession, la colonisation de l’Ouest américain est semée d’embûches. Qu’il s’agisse des éléments naturels, des interactions avec les peuples indigènes qui vivaient sur ces terres et de la détermination impitoyable de ceux qui cherchaient à les coloniser, tout se conjugue pour rendre l’avancée des colons périlleuse…  

Ce qu’on  en pense

Trente trois ans après le succès de Danse avec les loups, encore auréolé de celui de la série Yellostone, Kevin Costner partage sa passion pour le western avec cette ambitieuse saga de trois (ou quatre?)  films sur la conquête de l’ouest. Devant et derrière la caméra, l’acteur-réalisateur est omniprésent, multipliant les fils narratifs dans un premier volet de trois heures qui n’a, hélas, pas convaincu lors de sa présentation à Cannes 2024. Reconstitution factice, image proprette, intrigue filandreuse, cette épopée manque de souffle et ressemble plus à une série pour plateforme de streaming qu’au grand oeuvre cinématographique espéré. Témoin de sa construction feuilletonnesque, le final de cette première partie laisse le spectateur en plan jusqu’au 11 septembre, date de sortie prévue du chapitre 2. Avec le risque d’avoir tout oublié d’ici là.

Noël 2024 : Retour des poupées

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Par Cédric Coppola

Pour Noël 2024, parents préparez-vous, les poupées reviennent en force sous le sapin pour coller la pile aux jouets connectés ! En voici une petite sélection…

RAINBOW HIGH – POUPÉE WATERCOLOR & CREATE. Cette poupée n’est pas tout à fait comme les autres ! Au point qu’elle promet de faire des ravages à Noël. Jugez du peu… Elle a les cheveux blancs et ses vêtements sont très clairs ! Pas de panique, l’astuce consiste à utiliser une des six poudres arc-en-ciel fournies pour styliser à sa guise le jouet. Qui plus est, une éponge permet d’effacer ses créations et de recommencer. De quoi ravir, donc, les amatrices de mode en herbe.

POUPÉE LOL. Depuis quelques années, les cadeaux surprises ont pris une ampleur considérable. Dans le lot, les boules LOL font partie des plus populaires. Le concept est simple : la boule contient une petite poupée mystère avec ses accessoires. L’enfant a donc l’impression d’ouvrir un deuxième paquet-cadeau et ne sait jamais à quoi s’attendre… Pour le meilleur ou pour le pire, pour peu qu’il obtienne un doublon. Restera alors à espérer qu’une camarade de classe soit dans le même cas pour procéder à un échange dans la cour de récré.

POUPÉE YUMMILAND. Les poupées Yummiland ont la particularité d’être parfumées… Cependant, le principal intérêt de cette collection est de pouvoir créer son propre gloss en utilisant une couleur, un parfum et une base transparente. Toute l’astuce est de posséder la collection complète pour arriver à créer plus de cinquante combinaisons ! Très mignonnes, avec leurs couleurs flashy, ces jouets sont aussi fournis avec différents accessoires pour les transformer en princesses.