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Toulon : Wonderful Town

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Par la rédaction

Le succès de la création française de Wonderful Town à l’Opéra de Toulon en 2018 a été confirmé par l’attribution du Grand Prix de l’Académie Charles Cros à son enregistrement DVD. Avec cette œuvre, Leonard Bernstein affirme son amour pour New York. Avec ses épisodes chorégraphiques survoltés et sa somptueuse orchestration, Wonderful Town est un prélude à West Side Story.  L’atmosphère électrique des quartiers branchés de Greenwich Village et de Chelsea, est incroyablement décrite par des rythmes jazzy et latinos. Une histoire loufoque et dingue où tout finit par une seule attitude: « Swing !».

Nice : Redouane B.

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Par la rédaction

Ceci n’est pas un film, mais un stand-up. Redouane Bougheraba arrive dans les plus grandes salles et,  pour la première fois en France,  l’humoriste sera au milieu de tous : une scène centrale l’installera au plus près des spectateurs, créant ainsi le plus grand 1er rang du monde. Venez vous faire vanner en 360 degrés ! Une expérience unique et inédite à ne pas manquer le 22 mars à Nikaia. 

Nice: L’Héritage Goldman

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Par la rédaction

Les plus grandes chansons de Jean-Jacques Goldman revisitées par Eric Benzy, son réalisateur et arrangeur historique. Sur scène, Michael Jones, le Choeur Gospel de Paris  et les plus belles voix de la nouvelle scène française interprètent les grands tubes de Jean Jacques Goldman entourés des musiciens et de l’équipe artistique originelle de Goldman. Deux heures de musique et de performances d’exception pour s’émouvoir, chanter et danser ensemble sur un répertoire intemporel touchant toutes les générations. « La bande son de nos vies » et de tant de moments inoubliables.  Une production ambitieuse et passionnée pour revivre en live la légende Goldman le 23 mars à Nikaia. 

Monaco: Printemps des Arts

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Par la rédaction

Fondé en 1970, le Printemps des Arts de Monte-Carlo est le rendez-vous obligé des mélomanes de la Côte d’Azur à l’arrivée de la belle saison. Le compositeur et chef d’orchestre Bruno Mantovani qui en a pris la direction artistique en 2021 y propose une programmation qui établit un véritable dialogue entre les œuvres présentées dans une même soirée. Moyen-Âge et création contemporaine, musiques traditionnelles et jazz : le Printemps des Arts confronte langages, esthétiques, écoles et établit des passerelles entre des musiciens à priori éloignés. Placée sous le thème des « Musiques américaines et d’ailleurs« , avec le pianiste Michel Dalberto en invité d’honneur, l’édition 2023 promet, du 8 mars au 2 avril, une programmation riche et variée avec un panel d’artistes qui ravira tous les publics. En ouverture le mercredi 8 mars, à l’auditorium Rainier III :  Julien Bourgeois, Bruno Mantovani, Michel Dalberto, Kazuki Yamada et l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo dans un programme consacré à Steve Reich (Clapping Music), César Franck (Les Djinns, Variations symphoniques)  et Anton Bruckner (symphonie N°2 en do majeur).

Antibes: Fragments

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Par la rédaction

Charles Berling, le directeur de la scène nationale Châteauvallon-Liberté, met en scène un étonnant voyage au pays des idées dont le guide est Bérengère Warluzel, seule en scène. Ce n’est pas leur première collaboration : ils ont déjà travaillé à un Camus par lui-même, construit sur le même principe qui consiste à puiser dans une œuvre majeure pour en retirer la quintessence. C’est ainsi que Bérengère Warluzel a extrait de l’immense production d’Hannah Arendt, y compris dans ses escapades peu connues dans la poésie, tout ce qu’il faut pour rendre justice à cette faculté première de la nature humaine : penser. Parce que penser est une aventure existentielle de tous les instants, qui commence dès le plus jeune âge. D’ailleurs, ce spectacle n’est pas seulement affaire de spécialistes férus de philosophie,  il s’adresse à chacun de nous. Ainsi le théâtre demeure-t-il ce lieu exigeant et fascinant destiné à nous faire sortir de nous-mêmes et nous rendre plus forts.

 

 

Nice : Kev Adams

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Par la rédaction

Kev Adams est de retour avec un nouveau spectacle intitulé Miroir. Voici comment il le présente : « J’ai toujours détesté me regarder dans un miroir ! Comment, vous, me voyez-vous ? 13 ans qu’on se connaît mais le Kev que vous connaissez, moi, je ne le connais pas.  Je n’ai jamais pu revoir un de mes spectacles ou un de mes films…  Ça m’effraie et pourtant ça me définit.  Alors il était temps de le faire ! Temps de me regarder dans le miroir pour me confronter à ce que je suis devenu et pour y voir aussi le reflet de ce qu’est devenu le monde qui m’entoure. Il était temps de me confronter à cet autre que je croise parfois en me brossant les dents (au moins une fois par semaine), chez le coiffeur (au moins une fois par an !) ou dans une cabine d’essayage et dans le miroir des boîtes de nuit (souvent… trop souvent !! J’ai plus l’âge pour ça !). Bref, il était temps de lâcher prise et de vous présenter le vrai moi ! Il était temps de me plonger dans mon miroir ». L’humoriste sera sur la scène du Palais Nikaia le samedi 25 mars.

 

 

Monaco : Yarol Poupaud

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Par la rédaction

Yarol Poupaud s’est fait connaître dans les années 1990 avec son groupe FFF, qui jouera en 1998 en première partie du concert de Johnny Hallyday au Stade de France. En 2011, au moment de la promotion de l’album de Johnny « Jamais seul » fait avec Matthieu Chedid, ce dernier a un agenda chargé et le nom de Poupaud, qui a collaboré avec Niagara, est soufflé. Il devient le guitariste et le directeur musical de Johnny pendant ses 6 dernières années de concerts, « une expérience fantastique et inoubliable » selon ses mots. En 2022,  Yarol a publié « Fils de personne« , un album dans lequel il reprend des morceaux de la période qu’il préfère de Johnny Hallyday, de la fin des années 1960 aux débuts des années 1970. Sa façon de rendre hommage à l’homme et au chanteur exceptionnel que fut Johnny Hallyday. Le guitariste sera en Thursday Live Session au Grimaldi Forum le 23 mars.

 

 

Grasse : Berlin, Berlin

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Par la rédaction

Mise en scène par José Paul, Berlin Berlin est la nouvelle création de Patrick Haudecoeur (Thé à la menthe ou t’es citron?) et de Gérald Sibleyras (Un petit jeu sans conséquence) qui avaient déjà co-écrit l’hilarant Silence, on tourne! Adeptes d’un théâtre burlesque très rythmé où surprises et quiproquos se succèdent, les deux compères imaginent une intrigue pleine d’improbables rebondissements. Nous sommes à Berlin Est, à la fin des années 1980. Emma et Ludwig veulent s’enfuir et passer à l’Ouest. Emma se fait engager comme aide-soignante chez Werner Hofmann pour s’occuper de sa vieille mère sénile. Elle n’est pas là par hasard, cet appartement possède un passage secret qui mène de l’autre côté du Mur. La situation est déjà suffisamment compliquée mais si en plus Werner est un agent de la Stasi, qu’il tombe fou amoureux d’Emma, et que l’appartement est un nid d’espions, ça tourne au délire. Portée par 8 comédiens, tous excellents, une pièce rocambolesque et totalement loufoque.

Nice : Fakear

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Talisman‘ c’est le nom du nouvel album de Fakear. Il est symbole de renouveau, d’une nouvelle étape pour l’artiste caennais. Après avoir connu l’ivresse d’une ascension fulgurante avec un Olympia sold-out avant-même d’avoir sorti un premier album, des tournées autour du monde devant des foules de milliers de personnes, un disque d’or… Fakear a eu besoin de retrouver Théo. Près du point de rupture, Théo Le Vigoureux avait besoin de réinventer Fakear : revenir à l’essentiel avec spontanéité et surtout honnêteté. Avec ‘Talisman’, nouveau projet annoncé par les titres ‘Moonlight Moves‘ et ‘Altar‘ – envoûtants et déconcertants – Fakear laisse place à sa sensibilité et remets au centre de son art des combats assumés comme celui de l’écologie : pour le titre ‘Odyssea‘ de Camille Étienne, figure du militantisme écologique. En 2023,  Fakear sera en tournée dans toute la France pour célébrer la sortie de ‘Talisman’ et passera en concert live le samedi 25 mars à Nice au Théâtre Lino Ventura.

Sanary : Les Stentors

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Par la rédaction

En 2023, Les Stentors fêtent leur amour de la chanson française et leurs 10 ans d’amitié.  À l’occasion de cet anniversaire, ils font résonner de leurs voix uniques leurs plus grands succès. Ces trois amoureux de variétés française se régalent de vous faire redécouvrir tous ces merveilleux textes et mélodies qui invitent à vibrer à l’unisson.  “Le premier pas”, “Je vais t’aimer”,, “Je te promets”, “Belle » “Les Corons,“Le chant des partisans », “Les copains d’abord » ,  “Je chante” “Lettre à France”, “Oh Marie”, “Vivre pour le meilleur » ,  “Tous les cris, les SOS”… Tous ces airs et bien d’autres qui célèbrent l’amour sous toutes ses formes. ​Pour cet anniversaire exceptionnel Les Stentors vous convient à un rendez-vous intimiste : un tête à tête amoureux où s’entremêlent la pureté de leurs voix et les notes délicates du grand piano de concert qui les accompagnera pour un moment inoubliable. 

 

Toulon : Le rêve et la plainte

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Par la rédaction

Au Petit Trianon, dans le domaine du Parc du Château de Versailles, peu de temps avant la fameuse révolution, Louis XVI, roi de France a offert une nouvelle cuisine à sa femme, la reine de France, Marie-Antoinette. C’est ici qu’ils reçoivent leurs amis pour deviser tranquillement sur le cours des choses. Dans une atmosphère de fin de règne bercée dans les eaux douces d’une musique proto-baroque spécialement composée pour l’occasion, Le rêve et la plainte est un conte bavard contemplatif qui s’attache moins à des événements qu’aux récits qui sont faits d’eux et dresse un panorama d’opinions humaines égrainées affectueusement sur la peau du temps qui passe.Après Ciel mon placard ! et hélas, Nicole Genovese revient avec une nouvelle création iconoclaste. Elle nous convie à une « vanité », une digression sur le vide où le temps suspend son vol dans le plaisir d’être ensemble et de s’écouter, loin des passions et en toute tranquillité. Une ode à la contemplation.

Carros : Derrière le hublot

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Par la rédaction

 Si nos conceptions de l’amour ont été façonnées à coup de « l’homme rêve toute sa vie de foutre le camp », « la femme est un ennemi » et autres morceaux machos dans la vaste soupe miso, pourquoi continue-t-on, encore majoritairement, à vouloir « se mettre en couple » ?  Comment les injonctions liées à la masculinité et celles liées à la féminité pèsent sur les relations hétérosexuelles, y créent incompréhensions et tiraillements ? Pourquoi l’amour reste encore trop souvent un prétexte pour déroger à l’égalité ? Qu’il s’agisse du rapport à l’amour construit différemment dès l’enfance, de la séduction, de la sexualité, du quotidien domestique partagé, de la parentalité, La compagnie Les Filles de Simone fait sortir de leurs boîtes les diables cachés dans les détails, des chaussettes qui traînent à la libido morne plaine. Derrière le hublot se cache parfois du linge : une thérapie-spectacle de choc pour disséquer avec humour et férocité le couple hétérosexuel dans le sillage des réflexions féministes post-#metoo.

Toulon : Mon absente

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Par la rédaction
Pièce chorale pour onze acteurs, Mon absente interroge le mystère de la mort. Une femme a disparu et les « proches » se réunissent. Tout ce qui n’a pas pu se dire avant se révèle et le portrait de cette femme s’écrit en creux à travers le récit de ceux qui demeurent. Des acteurs et actrices d’exception pour cette dernière création de Pascal Rambert, un magicien des mots qui invente un théâtre à fleur de peau. Si Clôture de l’amour s’inscrivait sur une page blanche, Mon absente explore le « versant obscur » et s’écrit sur une page noire. Autour d’un cercueil jonché de fleurs, les personnages naissent de l’ombre, les groupes se font et se défont, un ballet de satellites fugaces s’établit, la parole se lie et se délie, se relie alors que les souvenirs affluent. Et cette parole fait tenir ensemble les vivants après la déflagration de la perte. La pièce est intime aussi bien que collective. On plonge dans l’invisible, au plus profond des cœurs et dans les fins replis du cerveau, dans l’inconscient, le désir, l’inavouable, le manque, aux territoires mouvants du rêve. Le décès est le détonateur, le déclencheur de parole. Du recueillement à la douleur de l’absence, les mots se répercutent dans les corps et dans les âmes. Comme souvent au théâtre, l’absente est convoquée. Et, pour Pascal Rambert, parler, se parler, nous parler, peut consoler, apaiser, pour mieux vivre son présent…