Sous la Seine

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Sous la Seine

Par Ph.D

Le pitch

Été 2024, Paris accueille pour la première fois les championnats du monde de triathlon sur la Seine. Sophia (Bérénice Bejo), brillante scientifique, est alertée par Mika (Léa Léviant), une jeune activiste dévouée à l’écologie, de la présence d’un grand requin dans les profondeurs du fleuve. Elles n’ont d’autre choix que de faire équipe avec Adil (Nassim Lyes), commandant de la police fluviale pour éviter un bain de sang au cœur de la ville.

Ce qu’on en pense

Après un détour vers la comédie avec Budapest, Xavier Gens revient à ses premières amours (l’épouvante) pour ce film Netflix qui jouit d’une exposition maximale avec la polémique sur la dépollution de la Seine à l’approche des JO. Il y est fait directement référence dans le film, censé se passer durant un triathlon organisé dans la Seine en guise de tes grandeur nature avant les épreuves de natation des Jeux Olympiques, avec une maire de Paris (Anne Marivin)  prête à tout pour que les épreuves aient bien lieu. Elles seront un tantinet perturbées par la présence d’un puis de plusieurs dizaines de requins mangeurs d’hommes dans le fleuve.  Bien sûr , on n’y croit pas du tout,  mais on s’amuse bien à voir approcher le carnage à grande échelle. Le final va même au delà de toutes les attentes en la matière ! La réalisation et les effets spéciaux sont à la hauteur de ce qu’on peut attendre d’un blockbuster d’horreur contemporain et le casting (Bérénice Béjo, Léa Léviant, Nassim Lyes…) parvient à donner de la crédibilité à tous les personnages. En dehors de celui de la maire de Paris, volontairement caricatural pour donner à l’ensemble une touche d’humour bienvenue.

 

By |juin 11th, 2024|Categories: Cinéma|0 Comments

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