Mi Bestia

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Mi Bestia

Par Ph.D

Le pitch

Bogotá, 1996. La population est effrayée : elle pense que  le diable va arriver lors d’une éclipse de lune imminente. Mila (Stella Martinez) , 13 ans, sent que le regard des autres sur elle se fait plus oppressant. Elle se demande si la métamorphose de son corps a un rapport avec cette prophétie. Le jour tant redouté arrive, la lune rouge illumine le ciel.

Ce qu’on en pense

On avait trés envie d’aimer ce premier film féminin, on l’imagine en partie autobiographique, signé de la colombienne Camila Beltran : court (1h16) et exotique (filmé à Bogota),    Mi Bestia explore, sous forme de fable fantastique,  l’adolescence et l’éveil à la sensualité d’une adolescente. A l’instar du Règne Animal, de Pauvres Créatures et d’un certain nombre de films depuis La Féline  de Jacques Tourneur (1942)…  Est-ce, justement, l’effet de déjà trop vu ? Malgré de grandes qualités formelles (réalisation originale, belle image, reconstitution d’époque soignée, acting irréprochable),  on s’y est fort copieusement ennuyé. Au point d’en sortir très étonné de n’y avoir abandonné qu’un peu plus d’une heure. En ressenti, c’était au moins le double.

By |septembre 4th, 2024|Categories: Cinéma|0 Comments

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