Par J.V
Le pitch
C’est la crise, tout s’arrête : plus d’eau, plus d’électricité, plus de réseau… Stanislas (Michael Youn), homme d’affaires parisien, perd tout, y compris sa fortune. Lui qui déteste la campagne est contraint de partir se réfugier avec sa femme (Barbara Schulz) et son fils (Nathan Gruffy) dans une des exploitations agricoles qu’il avait acquises dans un but spéculatif. Mais à son arrivée, il se retrouve face à Patrick (Eric Elmosnino) et sa famille, agriculteurs exploitants des lieux, qui n’ont pas l’intention de quitter la ferme…
Ce qu’on en pense
Après un Champagne ! bien éventé, Nicolas Vannier persiste dans la comédie chorale, un genre qui , pourtant ne lui réussit guère. Vendu comme une fable dystopique, le film se réduit à un clochemerle sans intérêt, scénarisé et filmé avec une finesse de moissonneuse batteuse. Livrés à eux-mêmes, les acteurs sont en roue libre. Eric Elmosnino et Valerie Bonneton en font tellement trop que même un Michael Youn paraît sobre. Comme le dit le titre, c’est le monde à l’envers !
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