Par Ph.D
Le pitch
Copenhague, 1918. Karoline (Victoria Carmen Sonne) , une jeune ouvrière, lutte pour survivre. Alors qu’elle tombe enceinte, elle rencontre Dagmar (Trine Dyrholm) , une femme charismatique qui facilite les adoptions clandestines moyennant finances. Un lien fort se crée entre les deux femmes et Karoline accepte un rôle de nourrice à ses côtés.
Ce qu’on en pense
Gros pudding bien misérabiliste sur une serial tueuse de nourrissons au 19e siècle, La Jeune Femme à l’aiguille a eu l’honneur de la compétition cannoise l’an dernier et en est reparti sans laisser de trace. Le film du réalisateur suédo-polonais Magnus van Horn prouve que ce n’est pas parce qu’on a vu tous les films de Dreyer ou de Todd Browning et qu’on tourne en noir et blanc que cela produit forcément un chef-d’oeuvre. Qui s’y frotte s’y pique !
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