Pryce Cahill (Owen Wilson) est une ancienne gloire du circuit pro de golf, dont la carrière a déraillé prématurément 20 ans auparavant. Alors que son mariage n’est plus qu’un lointain souvenir et après s’être fait virer d’un magasin de sports dans l’Indiana, Pryce mise tout son avenir et son argent sur Santi (Peter Dager), un jeune prodige du golf de 17 ans …
Ce qu’on en pense
Le milieu du golf professionnel n’a pas été beaucoup filmé et cette série permet d’y pénétrer, sans pour autant être réservée aux seuls amateurs de drives et de putting. Le golf n’est que prétexte à une histoire de transmission et de rapports filiaux et amicaux, entre des personnages que la vie a égratignés mais qui ont gardé leurs rêves intacts. Owen Wilson fait du Owen Wilson, c’est amusant et parfois émouvant, avec des personnages attachants et une réalisation dynamique. Parfait pour occuper quelques après midi de canicule.
Pryce Cahill (Owen Wilson) est une ancienne gloire du circuit pro de golf, dont la carrière a déraillé prématurément 20 ans auparavant. Alors que son mariage n’est plus qu’un lointain souvenir et après s’être fait virer d’un magasin de sports dans l’Indiana, Pryce mise tout son avenir et son argent sur Santi (Peter Dager), un jeune prodige du golf de 17 ans …
Ce qu’on en pense
Le milieu du golf professionnel n’a pas été beaucoup filmé et cette série permet d’y pénétrer, sans pour autant être réservée aux seuls amateurs de drives et de putting. Le golf n’est que prétexte à une histoire de transmission et de rapports filiaux et amicaux, entre des personnages que la vie a égratignés mais qui ont gardé leurs rêves intacts. Owen Wilson fait du Owen Wilson, c’est amusant et parfois émouvant, avec des personnages attachants et une réalisation dynamique. Parfait pour occuper quelques après midi de canicule.
Quand Reda (Raphaël Acloque) sort de prison, il espère renouer avec son ancien complice devenu entre-temps le second de Carlotti (Eric Fraticelli), le Parrain qui règne en maître sur le nord de l’île. Reda a du mal à trouver sa place dans ce monde de voyous qui a beaucoup changé et comprend vite qu’il ne sera pas accepté par la bande de la Plaine Orientale. Au même moment débarque à Bastia sa demi-sœur Ines (Lina El Arabi) qu’il a perdue de vue depuis l’enfance. C’est aujourd’hui une jeune magistrate qui intègre le premier pôle anti-mafia constitué par la police et la justice locale. Déterminée à faire tomber le Parrain Carlotti, elle propose à Reda une alliance secrète. Se signe alors un pacte à haut risque entre les deux…
Ce qu’on en pense
Une intrigue peu crédible, des acteurs pas toujours bien dirigés, des situations déjà vues (dans Mafiosa, entre autres)… Et pourtant, on a accroché à cette « guerre des gangs arabo-Corses« , arbitrée par un pole anti-mafia monté de bric et de broc. Ce n’est pas la « série Canal de l’année », mais ça se regarde gentiment. Pas sûr , par contre, que l’image que la série renvoie de la Corse ravisse les autochtones…
Après 30 ans de mariage et deux enfants, Miren (Nagore Aranburu) quitte le domicile conjugal et dénonce son mari pour viols conjugaux. Cette grave accusation oblige les enfants à choisir entre croire leur mère ou soutenir un père qui défend son innocence.
Ce qu’on en pense
Après Adolescence, encore une série branchée sur l’actualité la plus brûlante : celle des viols conjugaux. En 4 épisodes serrés tous les aspects de la question sont évoqués, sans pathos, ni clichés, par cette série espagnole au réalisme impressionnant. Dans le rôle de l’accusatrice, qui affronte sans broncher l’hostilité de ses proches, la suspicion et le déclassement social, Nagore Aranburu fait une prestation remarquable. Une série à la fois utile et passionnante.
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