Working Men’s Club

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Working Men’s Club

Si vous  pensiez que Fontaines DC avait tué le game et que vous vous apprêtiez à ranger vos disques de Shame, Idles et Murder Capital, attendez d’avoir écouté le premier album de Working Men’s Club pour faire le ménage sur vos étagères. Cette jeune formation des environs de Manchester (Todmorden,  West Yorkshire) est en train de réveiller les fantômes de Madchester et de l’Hacienda, avec un album à la fois dansant, rageur et engagé qui rebat les cartes du rock anglais,  décidément en plein boom post-punk. Le disque démarre plutôt gentiment, pour ne pas effrayer le chaland sur les plateformes de streaming,  avant de se durcir progressivement et de culminer sur un « Be My Guest » séminal qui synthétise le Cure de Pornography, Joy Division et les Chemical Brothers. Derrière,  « Teeth »  vrille les dents. Bienvenue au club des travailleurs  ! 

By |novembre 4th, 2020|Categories: ça vient de sortir|0 Comments

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