Par Cédric Coppola
A l’instar de Ghost of Tsushima mi-juillet, Death Stranding est désormais disponible dans une version Director’s cut qui célèbre au passage son portage de la PS4 vers la PS5. En plus des fonctionnalités attendues : 4K, 60 FPS, temps de chargements drastiquement réduits grâce au disque dur SSD, optimisation pour le son 3D… le dernier bébé d’Hideo Kojima bénéficie d’ajouts suffisamment notables pour séduire tous ceux qui n’avaient pas encore gouté à l’aventure de Sam Porter Bridges incarné par le charismatique Norman Reedus. La plupart de ces nouveautés, comme le lanceur de cargaisons, des bottes pour réduire les dégâts en cas de chute ou faire des sauts plus longs ont pour objectif de faciliter le périple. Le Buddy bot, un petit robot permet même de transporter davantage de marchandises. Certains crieront à un processus de casualisation ou parleront d’expérience dénaturée. Or tout cet attirail est facultatif et rien n’empêche les puristes de jouer dans les conditions d’origine. Autre bonne initiative, l’intégration d’un stand pour s’entrainer au maniement des différentes armes et la présence de nouvelles missions, qui sans être inoubliables gonflent la durée de vie. (Sony, jeu testé sur PS5)
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