Copenhagen Cowboy

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Copenhagen Cowboy

Par Phil Inout

Le pitch

Séquestrée par la mafia albanaise de Copenhague, à laquelle elle sert de « porte-bonheur humain », Miu (Angela Bundalovic),  une jeune femme aux étranges pouvoirs, s’évade et tombe entre les mains de la mafia chinoise. C’en est trop pour Miu, qui décide de ne plus se laisser faire…

Ce qu’on en pense

Après Too Old To Die Young pour Amazon Prime, Nicolas Winding Refn rejoint les rangs de Netflix pour sa deuxième série, tout aussi barrée, violente et arty que la première. Musique synthétique omniprésente, plans éclairés aux néons rouges et composés comme des photos d’art, personnages mutiques, scénario rachitique, longues plages soporifiques suivies d’éclairs de violence pure… Pas de doute,  on est bien chez le NWR de Drive (ou plutôt de Neon Demon). Avec le réalisateur danois,  on hésite toujours entre nanar intersidéral et oeuvre d’art vidéo. Difficile de trancher pour Copenhagen Cowboy, dont même le titre demeure énigmatique. Malgré tout, sidérés par le rythme effroyablement lent et l’esthétique glacée à la David Lynch,  on est allé jusqu’au bout des 6 heures de visionnage.  Spoiler : la fin ouvre sur une saison 2,  dans laquelle l’héroïne, sorte de playmobil en combinaison bleue adepte du kung Fu, devra affronter son double maléfique en combinaison rouge.

By |janvier 12th, 2023|Categories: Séries|0 Comments

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