Par Ph.D
Le pitch
Alpha (Mélissa Boros), 13 ans, est une adolescente agitée qui vit seule avec sa mère (Golshifteh Farahani). Leur monde s’écroule le jour où elle rentre de l’école avec un tatouage sur le bras…
Ce qu’on en pense
Titane (Palme d’or 2021) n’était donc pas un accident : avec Alpha, Julia Ducournau confirme qu’elle est la nouvelle cinéaste française à fuir. Même la merveilleuse Golshifteh Farahani ne parvient pas à sauver cette pseudo fable horrifique sur les ravages du sida et de la drogue. Depuis les premiers Gaspar Noe, on n’avait pas vu plus obscène, ni plus vain. Dire que Tahar Rahim a dû s’affamer et perdre un os pour tourner cette pseudo performance grimaçante… A Cannes 2025, Alpha a décroché haut la main la palme d’horreur de la critique.
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