Par la rédaction
L’entrée des rois avec la folie de leurs mots disloqués brandis sur d’irrésistibles débranchements rythmiques, le jeu de l’oie, le ménage à trois. C’est Vénus tout entière et « le petit Mozart des Champs-Élysées » qui fouettent le tourbillon échevelé des valses et des galops. Mais le romantisme rieur et la veine aguicheuse d’une musique sentimentale et gamine peuvent soudain devenir mélancoliques ou sensuels. Finalement la guerre de Troie aura bien lieu. La Belle Hélène n’a perdu aucune couleur dans cette mise en scène de l’opérette d’Offenbach par les jeunes et talentueux Alice Masson et Quentin Gibelin. L’opéra de Toulon s’invite au Liberté pour 4 représentations.
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