Les Garçons, on y va pour la réputation (élogieuse), pour la déco « industrielle chic » et l’ ambiance » lounge » (attention c’est toujours bondé : réservation obligatoire) . On y revient forcément, pour la cuisine, l’accueil et le rapport qualité . Ça se passe dans le vieux Nice , rue Centrale, pas loin de chez Fenocchio. La carte promet une cuisine française « revisitée, gourmande et saine ». Elle est courte, mais tout fait envie. Dès l’entrée, des choix cornéliens se posent : Brick au Munster et figues fraîches rôties ? Taboulé de quinoa à la féta, vinaigrette de framboise ? Salade d’endives, pommes et noix à la fourme d’Ambert et miel ? Velouté de potimarron et poire ? Tout est à 11 euros, ce qui ne facilite pas la décision pour les radins. A suivre : Médaillon de veau au caviar d’aubergine, jus de thym, pommes de terre au four, Magret de canard à la figue, polenta crèmeuse et jus corsé au Porto, Lasagnes courgette et chèvre au basilic, Burger façon « cheese » ou « cheese bacon », pommes de terre au four, Pavé de saumon, vierge de mangue et graine de chia, risotto au curry, Dos de cabillaud au chorizo, fondue de poireaux (tout à 18 euros) . L’assiette est copieuse, mais les gourmands s’achèveront à l’ Ananas rôti au rhum, émulsion de noix de coco, au Clafoutis aux mirabelles, à la Panna cotta à la carotte et gingembre, tuile au sésame ou à la très redoutable Tarte au chocolat et caramel au beurre salé et pistaches (tout à 8 euros). Une des (rares) adresses sûres du Vieux Nice.
Les Garçons
3 Rue Centrale, Vieux Nice
Ouvert tous les jours
de 19 à 23h00
Menus 25-30 euros
Carte 40 euros
Tel 04 93 80 87 90
Nice : Onaka
Restos/Bars|
Recommandé par Jacques Gantié (Table libre)
Ouvert en juillet 2022 par Alexis Luong et Alex Couvidat, dans le discret passage Masséna, Onaka a a vite fidélisé une clientèle active, jeune et gourmande, avec sa terrasse tranquille et son intérieur chic, son service soigné et ses sushis divins aux prix raisonnables. Passé par le Nobu à Monaco, celui de Londres et le Matsuhisa de l’hôtel Royal Monceau à Paris, Alexis Luong travaille les sushis avec la maestria d’un champion (qu’il est). Son associé Alex Couvidat a pas mal bourlingué de Londres en Floride, à Melbourne et au Cambodge et a une formation de sommelier de saké reconnue au Japon, qui lui permet de proposer une carte de sakés chauds et froids sans équivalent sur la place. Même si on n’est pas spécialement fan de sushis, Onakaya mérite d’être testé pour ce qu’il est : un des meilleurs restaurants du centre ville, tous genres confondus. Si vous êtes en fonds, tentez le dîner gastronomique à Onakaze, la nouvelle salle privée de l’étage. On y entre en chaussettes – à la japonaise-, et le chef y prépare devant vous, pour 12 personnes maximum, une vingtaine de plats, tous plus raffinés et goûteux les uns que les autres. Comptez 250 € par personne avec les boissons pour une expérience vraiment inoubliable… Et très conviviale !






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